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Le News de Margot
1 juin 2019

La paix en Afrique, par les africains

Ont été neutralisés des personnages importants dont la disparition se voit, se sent dans l’efficacité des organisations terroristes. C’est une stratégie d’isoler Iyad Ag Ghali, ce chef jihadiste malien ? La stratégie de la France est claire : c’est de lutter contre le terroriste, contre toutes ces formes. Et vous avez demandé peut-être un peu plus de soutien de l’Algérie dans ce cadre-là, peut-être où se cacherait Iyad Ag Ghali ? Vous savez, nous coopérons très bien avec l’Algérie. Il n’y a aucun sujet de ce côté-là. Lors de votre discours, vous avez évoqué enfin la situation en Centrafrique. Vous n’avez pas cité directement la Russie, mais vous avez parlé de « manipulation intéressée possible ». Est-ce que vous parliez bien de la Russie ? Je ne vise aucun pays en particulier. Ce qui me préoccupe, c’est la situation qui prévaut en Centrafrique. Et par conséquent, je souhaite, la France souhaite que les initiatives qui ont pu être prises par l’Union africaine soient le moteur de la restauration de la stabilité en Centrafrique. Je ne m’exprime jamais contre, mais je m’exprime pour. Au-delà des conclusions que chacun en tirera sur l’impossibilité désormais de s’adresser à cette société pour la constitution de cagnottes, il y a quand même un très sérieux problème juridique. Résumons-nous : la cagnotte a été lancée pour venir en aide à Christophe Dettinger dans la procédure intentée contre lui (frais de défense) et à sa famille mise en difficulté par l’incarcération. C’est bien sur cette base que les sommes ont été versées par les donateurs et sont désormais entre les mains de Leetchi. Et c’est la raison pour laquelle elles doivent être remises à l’organisateur qui les utilisera sous sa responsabilité. Au-delà de l’impact commercial que l’on espère désastreux pour Leetchi on peut s’interroger sur ce zèle à exécuter des ordres aussi manifestement illégaux émis par Marlène Schiappa lors d’une émission de télévision. Après avoir considéré que la cagnotte était indécente, cette dernière a dit : « Il est souhaitable effectivement de savoir qui a donné à cette cagnotte, parce que je crois que c’est une forme de complicité ». C’est peut-être pour cela que les petits aboyeurs de la Macronie auraient dû s’abstenir de hurler à la mort contre le boxeur. Après que celui-ci eut diffusé une vidéo d’excuses, ses amis ont ouvert auprès de la société Leetchi une cagnotte destinée à rassembler des fonds pour assurer la défense de Dettinger et aider sa famille dans cette période difficile. Pratique courante, normale, parfaitement légale et qui comporte de nombreux précédents. Il ne s’agissait absolument pas de prendre en charge les éventuelles condamnations pécuniaires mais de pourvoir à sa défense. Le succès foudroyant de cette cagnotte a mis les petits marquis en fureur. Chacun au sein de la petite caste y est allé de son couplet, masquant par des cours de morale hypocrite sa rage devant cette solidarité exprimée par ce peuple qu’ils détestent. Ainsi, cette société très liée à Xavier Niel et filiale du Crédit Mutuel Arkea a donc cédé aux pressions gouvernementales et à l’ordre donné par Marlène Schiappa. Situation absolument stupéfiante ou le droit est simplement foulé aux pieds. La garde des Sceaux et le Premier ministre Édouard Philippe ont ouvert en octobre cinq grands chantiers: la simplification des procédures pénale et civile, l'organisation territoriale, la numérisation, le sens et l'efficacité des peines. Le champ de la réforme est très large. Ce vendredi matin, au micro d'RTL, la gardes des Sceaux s'est voulu rassurante, assurant qu'"aucun tribunal ne sera supprimé, tous les tribunaux resteront". Dans les faits, le justiciable pourra se rendre dans son tribunal, mais il sera ensuite "redirigé vers le tribunal compétent", a expliqué Nicole Belloubet à RTL. Si les tribunaux d'instance et de grande instance vont fusionner, ce ne sera qu'"administrativement", a-t-elle assuré. Parmi les objectifs: "rétablir la confiance de nos concitoyens dans notre justice". Hasard du calendrier, la direction de l'administration pénitentiaire a annoncé jeudi 19 avril un nouveau record de détenus dans les prisons françaises, avec 70.367 personnes incarcérées au 1er avril. Le taux d'occupation atteint en moyenne 118% dans les prisons, mais grimpe à 143% dans les maisons d'arrêt. On hésite, au premier contact avec Florence Parly. Ou bien aurait-on affaire à une dure à cuire, camouflée sous des vestes de velours rose ? Ses tout premiers clichés de ministre des armées sont ratés, comme si le photographe n’avait pas su la cerner. Elle y affiche le sourire de biais de ceux qui détestent être exposés. « On ne m’a pas énormément vue, c’est un fait, mais je me soigne », lance-t-elle à la presse pour ses vœux, le 16 janvier. « Sur Google, vous tomberiez d’abord sur un centre commercial ! Florence Parly a été deux fois nommée dans des gouvernements, « deux fois des surprises » résume-t-elle. Deux crises, à vrai dire. A 37 ans, en 2000, elle devient la première femme secrétaire d’Etat au budget. Elle seconde Christian Sautter après la démission de DSK, empêtré dans l’affaire de la MNEF. A 54 ans, le 21 juin 2017, elle succède à Sylvie Goulard au ministère des armées. Après un mois agité, la ministre venue du MoDem a dû, elle aussi, quitter son poste, à cause de l’enquête sur les assistants parlementaires de son parti au Parlement européen. « Sidérée » que le premier ministre lui ait proposé le poste, elle « n’a pas réfléchi bien longtemps ». Selon Philippe Grangeon, elle était dans le vivier des ministrables depuis le départ. Elle connaît bien le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, ex-directeur du cabinet de M. Macron quand elle était à la SNCF. Florence Parly précise qu’elle est allée au tout premier meeting du candidat à la Mutualité, intéressée mais pas « marcheuse ». « Pendant des mois je me suis demandé pour qui j’allais voter. Dehors, ce samedi 5 janvier, l’acte VIII des « gilets jaunes » gronde à Paris sur les bords de Seine à la hauteur du musée d’Orsay. Nous interviewons Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, dans son bureau qui est un sanctuaire républicain. Il est d’excellente humeur, il revient de vacances marocaines, il est 16 heures, et son ministère est désert et calme comme un samedi. M. Griveaux évoque, en passant, une « décrue » mais aussi une « radicalisation » du mouvement. Parfois, on préférerait ne pas trouver la confirmation immédiate de ses propres paroles. Mais son garde du corps a déboulé - « On bouge ! » - sur un ton synthétique, net et claironnant. A cet instant précis, l’inviolabilité d’un ministère n’était plus inconcevable. Il s’était passé quelque chose d’incroyable : on venait d’éventrer le portail à l’aide d’un chariot élévateur. On a donc ouvert la porte-fenêtre, bondi dans le jardin, vide et paisible, piétiné des fougères et disparu par un passage secret pour se retrouver dans une petite rue adjacente. A la veille de la rentrée, plus de 15 000 étudiants attendent une réponse pour leur formation post bac. Vous avez dit que ParcoursSup était un système «plus rationnel» et «plus humain» que son prédécesseur APB. Jean-Michel Blanquer. Incontestablement. L’immense majorité des candidats a une affectation. Le travail mené a permis d’éviter un tirage au sort profondément injuste. ParcoursSup est plus humain : un deuxième professeur principal accompagne les Terminales et, jusqu’au 21 septembre, les commissions rectorales aident les élèves à trouver une place. Les filières en tension sont renforcées. Nous avons aussi facilité l’accès des bacheliers professionnels aux BTS, où ils réussissent mieux, en créant de nouvelles places. C’est important de le rappeler. Par le passé, on s’est trop détourné de ces sujets, se bornant à déplorer les dégâts causés par le taux d’échec en fin de première année à l’université. Quatorze mois après votre arrivée, quels constats tirez-vous des réformes que vous avez entreprises? Par le passé, l’éducation nationale a été caricaturée comme une institution que sa taille condamnait à l’immobilisme. Nous sommes en train de démontrer que son envergure ne l’empêche pas d’être agile.

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